jeudi 11 octobre 2012

Varsovie et :) l'Euro de foot

Dresden-Warsaw: about 8 hours, if you consider you're gonna loose yourself in Berlin like I did. Like for most of my trips, I feel like I actually live in transportations, which has the benefice of the satisfaction you got once you are finally there. The train looks like any ex-USSR train, and I find myself sitless, in the corridors, trying to talk to people. And although we barely crossed the border, every single Polish guy I meet doesn't, or couldn't speack German. English, English and English. I find it really surprising, like there was a kind of repulsion towards German language there.

Anyway, once the train stopped in Warsaw, I step off and I don't have to wait too long to find my friend. It is incredibly much easier to manage your visit in an unknown city, specialy big, when you hang around with a nativ. And particurlarly when the currency is not euro. They take me to my future home, a summer house, not too far away from their home. This type of residence is very common in east Europe, I guess because winters are really tough, and summer really warm, and thus differents needs.

Then what do you do? You visit the city, and you insist on the really borring stuff like museums, while you still have the will for it, before hanging around and do normal stuff like normal people.

   One of the thing you quickly notice: Polish people are proud, especially when it comes to great caracters of history. Don't tell anyone that Marie Curie, ou Maria Sklodowska there, or Frédérick Chopin, ou Fryderyk chopin there, are French: otherwise they will take it very badly ( I tried, in the name of French humor). You got all over the city, streets, places, parks, museums, which bear these names. Museums which are indeed really well done. Then you have everything inherited from the USSR, and here I am thinking of the Palace of Culture and Science, highest tower in Poland, offered by Staline. And finally you got the old town, the castle, where it's nice to look around.

   Still, it's the Euro championship in Warsaw. With a huge fan zone just in the middle of the city, some ads everywhere, and Polish people looking at you like a real tourist (I don't really fit the profile of Polish either). Game Spain-France coming up in the everning, we all converge toward the zone, and I gotta admit, outnumbered by Spanish fans. We loose, fine, and then we go drinking vodka shooters. 25cents the shooter there, whereas you can make it 3€ anywhere in France or Germany. I totally go for it. People are used to drink some cola along with the shooters, in order to protect your larinx, I have been told, and when you want to look tough you don't take cola. We will end up later watching a show with sound and lights upon water, telling the story of Europe. It was beautiful.

   The last day, I am awaken by the father of my friend, who takes care of the garden in the summer house. We have been chatting a lot together, he happened to work in France and in Germany a long time ago. Then he takes me outisde, catch a bottle from a trap door in the ground, and we drink some shooters. 10am, after I just woke up with an hangover, tutto bene ;) Makes me think I can't wait to come back here!!!




And here I get off my Porsch to play piano

Chopin Park

That's what Europe is all about

Watching the game in the fan zone, with the Palace behind

Really was a nice time, ty Magda :)

mercredi 13 juin 2012

Hamburg - port de débauche


Habe ich schon gesagt, dass ich nach Dresden gegangen bin, zu studieren?? Nein. Jedoch haben wir eine Studienreise nach Hamburg gemacht. Es gab einige Baustellen zu besuchen, auf dem Weg zu Hamburg. Ebenso passiert es als in Frankreich. Erste kriegt man eine langweilige Rede, vor dem Büffet, damit die Leute hören, und sich voll nicht stopfen. Dann begeben wir uns zum Eingang von der Baustelle, um Baugerüst, Beton und Bewehrung zu sehen. Am Ende, ist man ziemlich zufrieden, in den Bus zu steigen.
Description d’une visite de chantier : on entend « ouha », « ohh » et « ahh » quand on est sur le chantier, parce c’est impressionnant, complexe et que l’on n’y comprend rien. Lors de la conférence on entend surtout « ZZZZzzzzz…. » et on voit  -_-  parce que c’est souvent long et qu’il y a plein d’informations inutiles (par exemple les chiffres de l’entreprise). Enfin pendant le buffet et les questions au conférencier c’est plutôt « scrunch scrunch » et « glou glou ».

Hambourg : que dire ? Cette ville m’a fait immédiatement penser à la chanson « dans le port d’Amsterdam » de Jacques Brel. C’est une ville portuaire importante, on y boit de la bière et on y trouve des putes. La chanson aurait pu être écrite pour cette ville. Mais on ne va s’arrêter à cette description primaire. On arrive, le car se fraie un chemin dans les rues étroites d’Amsterdam, et nous dépose devant un hôtel rénové et très moderne. La déco originale à moitié rock et jeune, le buffet pour le petit-déj, et les capotes dans la salle de bain, on a adoré. Quelques bières et chips, puis on va se prendre une pizza dans un resto au coin de la rue. La place est très sympa, baby foot au sous-sol, on y a aussi rencontré des compagnons charpentiers à qui on a offert une bière et qui nous ont raconté leur mode de vie un peu alternatif. On va ensuite trainer dans le quartier chaud, dans tous les sens du terme. 

La rue « Grosse Freiheit » abrite autant des bars, boîtes de strip-tease, boîtes de nuit, clubs et maisons closes. L’aspect de la ville qui m’a le plus interloqué est celui du tourisme sexuel, peut être parce qu’il est totalement absent en France. Il y a même une rue interdite à la gente féminine, avec des femmes de petite vertu qui interpellent les clients de derrière les vitrines. On a passé une soirée au port, à boire des bières et à papoter, et l’autre à sortir dans toutes les boîtes possibles de la rue Grosse Freiheit ! Rentrés à 6h du matin, on reprend le car à 8h30 pour 2 visites de chantiers supplémentaires, et 7h de cars… je ne vous raconte pas l’état dans lequel on a passé la journée^^

"Je sens une risée, on va lever l'ancre!"

Herbetstrasse, für Frauen verboten

Photo de légende, Beatles Platz près de Grosse Freiheit Strasse

La coloque de Cachan, présente sur le terrain




mardi 12 juin 2012

Football en Allemagne O_o


Hier betrachtet man Fußball als eine Einrichtung, eine Religion. Ich habe Stunden und Stunden in Bars verbracht, und die Inbrunst, dass ich dort gefunden habe, übertrifft was ich in Frankreich schon gesehen hatte. Ich kennte nur Bayern, von Ribery. In Deutschland entweder magst du gesamt die Bayern, oder  hasst du es. Dortmund ist sehr berühmt, die beste Mannschaft in Deutschland, und jedes Match gegen Der Bayern ist ein sehr wichtiges Ereignis.

1ère image : Soir de match, on se dirige tout naturellement vers la Neustadt, quelques bières avec soit, pour l’économie. Les bars y pullulent, et sont tous équipé de grands écrans. Institution du foot oblige. On se presse pour trouver un endroit où se nicher en attendant le coup d’envoi, qui correspond aussi au moment où le bar est plein à 120%. Un but, des cris, des bras qui se lèvent, les bières se renversent et on commente l’action. A la mi-temps, tout le monde sort s’aérer, sans craindre de perdre sa place qu’on est allé prendre une heure avant le match.

2ème image : Journée ensoleillée, hors période examens, on se rend à Grossen Garten pour jouer au foot. Le Park est parsemé d’espaces clos par des arbres, qui apportent une certaine intimité. Lorsque l’on occupe une de ces pelouses, on se sent tranquille, seul au monde, presque chez soit.  Au fur et à mesure du jeu, des joueurs viennent s’ajouter, formant des équipes un peu hétéroclites, très conviviale. Au besoin on peu trouver de quoi manger et de la bière fraiche au centre du parc...

3ème image: Samedi soir, match de l'Euro Allemagne-Portugal à 20h45. Je découvre à partir de 18h le Strassenbahn en direction de la Neustadt rempli de supporters, qui se dirigent en masse vers les Public Viewings, dont celle au bord de l'Elbe. L'ambiance est folle. Les bars sont encore plus pris d’assaut que d'habitude. Des fumigènes et des éclats pendant tout le match, notamment lors du but de l'Allemagne. Deux allemand sur trois croisés dans la rue portent un maillot, un drapeau, ou encore du maquillage de supporter. 

Euro 2012 en Pologne/Ukraine incontournable ici!!
Ecrans géants partout, même au bord de l'Elbe dans un cadre magnifique



En bon franchouillards, on tente de mettre de l'ambiance pour nos matchs

Séance de maquillage avant de se taper l'affiche sur le campus 

Italie --> épisode 2

Normalerweise, gibt es immer Ort, Landschäfte, Leute und Nahrung, die mehr anziehend als anderen sind. Die Aussprache ist auch ganz wichtig. Hier gibt es einen Beispiel: man sagt auf Französisch „Cendrillon“, auf Englisch „Cinderella“, auf Italienisch  „Cenerentola“, und alle klingen sehr schön! Aber auf Deutsch: „ASCHENPUTTEL!!“. Denn muss ich es zugeben, ich liebe alles über Italien (ausnahmsweise Italienisch Fußball, das hasse ich, keine Ursache 2006 Weltmeisterschaft), das Klima und eine Frau auch B-)
Dann ist es kein Überraschung, dass ich noch einmal nach Italien gegangen bin…


Eh oui, une semaine avec le jeudi de l’ascension, pas de cours le vendredi ni le samedi et ni le mercredi (ou presque pas J ), on en profite !
8h départ de Dresden, avec changement à Leipzig, puis changement à Nürnberg, puis enfin à München. Ayant déjà pas mal voyagé, j’ai bien évidemment suivi la règle d’or : voyager léger ! 12 heures de voyages avec 4 changements de train, ca engage plutôt à éviter la grosse valise, pleine d’affaires inutiles. Je profite de l’arrêt à München pour rencontrer une amie, Eva, qui est originaire de Bayern. Grosse frayeur en passant les cols, en Autriche, car le train est bloqué par la neige ! La frayeur est due au fait qu’il puisse faire plus froid à Trento qu’à Dresden ensoleillé que je « viens » de quitter… Frayeur bien superflue, car en descendant du train (agréable air de déjà-vu), je retrouve -1 la chaleur 2-le soleil -3 ma chérie.

 A partir de là commence une semaine de rêve, car cet endroit et ces gens n’ayant aucun liaison avec Dresden, cela fait une coupure totale avec la vie quotidienne. Que ce soit les moments de gastronomie au resto ou chez les amis, les balades au soleil, ou les révisions à deux pour ses examens (mmm), c’est du ravissement et du bonheur. Dernier évènement de la semaine, un repas en tête à tête dans un des meilleurs restaurants du coin. L’aventure commence à 19h, on me dit:
-« you had better be ready at 9, otherwise we’ll be late »
Bien sûr prêt à 21h, j’attendais toujours devant la porte de la salle de bain, mais le résultat en valait vraiment  la peine. Un peu de stresse pour le retard, et parce qu’elle conduit, mais voilà qu’on arrive à destination une demi-heure plus tard, dans un parking rempli de Ferrari et Lamborghini. Je la regarde, elle me regarde, et me demande « where can I park ?? ». Et je continu à la regarder, médusé, se garer derrière une Ferrari, en pensant très fort au conseil de mon père :
-« pour se garer, toucher légèrement la voiture devant pour profiter au max de l'espace disponible »
Une soirée délicieuse pour résumer, qui me fait alors vraiment regretter une nouvelle fois de rentrer à Dresde.

C bô l'Italie

Petit brunch sur la montagne

Résultat avant le dîner, oui ca en valait la peine <3

jeudi 3 mai 2012

Back in France - à deux!!


Was habe ich schon über Reisen gesagt, wenn man ist in Erasmus? Man muss aus unser – man kann frei Zeit sagen- Vorteil ziehen. Noch einmal wollte ich meine Freundin Fleur, die ist in Italien, treffen, und nach Frankreich gehen. Wir haben drei Tage in Paris, und drei in Nantes geplant, bei meinen Eltern.
  Premier retour en France depuis mon arrivée, j’ai essayé de le soigner ! Et effectivement, j’ai appris, qu’en train ou en avion, c’est autant le bordel, aussi long et cher. Lever 4H pour prendre le car direction Berlin (hum, un air de déjà-vu ca). Deux heures d’attente à l’aéroport, l’avion décolle pour Orly, d’où je mets approximativement 45min pour retourner dans le centre de Paris pour retrouver ma dulcine. Cela fait tout de même 8H de voyage tout compris, soit pareil que pour le train sans les files d’attentes debout, les changements, et surtout les bagages à transporter. Pas tellement gagnant.
  A partir de là, trois jours d’idylle, dans un Paris pas vraiment surpeuplé, où le temps alterne entre grosse pluie (voir « Minuit à Paris », mon sentiment était similaire), et soleil de plomb. Dans le premier cas, visite de Paris partielle, avec Montmartre,les Tuileries et le musée du Louvres. Dans le second cas, balade à deux sur un vélib sur les quais de Paris (mmm..), l’avenue des Champs Elysées, les Grands Magasins et enfin le musée d’Orsay. Tous simplement heureux, on en a profité pour faire le plein de macarons Ladurée/Pierre Hermé, pâtisserie rendue célèbre à l’étranger par la série américaine « Gossip Girl ».
  Suite du voyage à Nantes, on prend le TGV, ce qui me change considérablement des trains allemands, qui, il faut dire ce qui est, sont lents. On arrive, présentation de Fleur aux parents (épreuve passée brillamment), j’en profite pendant le séjour pour obliger tout le monde à parler anglais. Petit moment particulier, on avait de nouveau toute la famille réunie, ce qui arrive de plus en plus rarement.
  Retour à Paris avant de s’envoler, je croise ici aussi quelques bon amis, et enfin les adieux avec la belle.  On se reverra en Italie un mois plus tard, mais déjà elle me manque…
Victoire de Samothrace au Louvres



Vite, profiter du soleil pour la photo!

Balade en vélib =)

dimanche 15 avril 2012

Jogging à Dresde



Je dois vous avouer que le premier CD que j’ai reçu était l’album de Claude francois, « Ses plus grands succès », et que tout petit, j’en étais fan. L’idée de ressembler à mon idole une heure par semaine m’a donné la volonté de perpétuer ce rituel, que ce soit à Nantes, La Baule, Paris ou bien... Dresden.  Et effectivement les bords de l’Elbe se prêtent parfaitement à l’exercice. Vous comprendrez pourquoi en voyant les photos.

Dimanche 16h, en chaussons dans ma piaule, je me demande ce j’ai fait de ma journée. Je me retourne et je vois écrit « RIEN » sur le mur… Les appels simultanés du soleil radieux à travers la fenêtre, des filles qui se prélassent sur les pelouses et de mes muscles qui pendouillent par inaction, m’exhortent à me bouger. Baskets « Asics » (pour les initiés^^), lentilles, j’active le GPS sur mon Iphone et c’est parti! Je conçois chaque jogging comme un défi lancé à moi-même. Je me dois de faire au moins aussi bien que d’habitude, et pour cela je prends plaisir à me défoncer physiquement. L'idéal pour ça, c'est qu'il y ait d'autres personnes à courir, cela motive. Malheureusement, les gens ici sont très vélo, et moins course à pied. Qu'à cela ne tienne.

 Cette fois-ci, j’ai fait 15km en 1h10, ce qui donne ça :

Avant d'arriver sur les berges, le château de Dresde 

Faîtes abstraction de la cabine^^

On a fait la course et j'ai gagné ;)

un barbec', de la tise et c'est parti..

Décor de rêve, il faut avouer


j'ai dû monter sur le pont pour la prendre celle-là, alors...

Spot le plus romantique de Dresde :$

Du haut des remparts

Au retour, l'opéra de Dresde


lundi 9 avril 2012

Weekend de Pâques


„Frohe Ostern“, wie man kann in Deutschland sagen. Daran hatte ich nicht gedacht, aber hier gibt es zwei Feiertage, Freitag und Montag. Dazu glaubte ich, dass ich noch im Praktikum sein würde. Aber ich hatte es schon beendet, um die Vorlesung an die Universität zu besuchen. Dann habe ich nichts, wirklich nichts zu tun, weil die anderen Leute weg waren. 
Pour résumer, je me retrouve un weekend de Pâques de 4 jours entiers tout seul à Dresde, alors qu’il fait aux alentours de 0° dehors, le tout sans chocolat. Hum, ça sent le weekend bien morose. 
Vendredi soir, petit dîné chez un ami qui partait le lendemain, avec trois allemands, un français et deux hongroises. J’avais pris l’initiative de l’apéro français, avec gâteaux apéros, saucisson, et surtout un bon vin rouge. Une bouteille ramenée d’Italie dont la qualité contraste profondément avec ce que l'on trouve dans les supermarchés allemands.Le reste du repas était délicieux, un plat de légumes un peu épicé fait par les filles. 
Samedi soir,comble de la chance, je trouve même un groupe pour sortir. Trois heures et une bouteille de mauvais bourbon de 75cl à deux plus tard, on part en boîte. (Ne me demandez ni le nom, ni la localisation...). Mais je me souviens quand même avoir joué au billard (1er étage de la boite) avec des inconnus, sans payer ni les parties, ni les boissons. Et aussi avoir dégagé des gens à coups de coudes pour danser avec une fille, dont le mec est arrivé 30sec plus tard avec deux verres. Et aussi avoir fait la fermeture de la boite en criant « ouuuuuuuuuuuuuuuh !! ». Et aussi avoir discuté en allemand/anglais avec des inconnues dehors pour trouver un after. Et enfin avoir attendu 10min un tram qui ne circule plus la nuit, avant de m'en rendre compte, et 15min le bon tram…Normal.
Spéciale dédicace à mon italienne préférée!